Le verdissement d’une flotte d’entreprise est-il vraiment un projet si coûteux? C’est peut-être ce que vous avez en tête, et pourtant… rien n’est moins vrai! Explications!
Constat n°1 :
Quand on pense décarbonation ou verdissement de flotte, on pense tout de suite véhicule électrique. Et « un véhicule électrique ça coûte cher » c’est bien connu, n’est-ce pas?
Or, le véhicule le moins polluant est celui qui ne roule pas!
Et les solutions de substitutions produisent généralement de fortes économies.
2 exemples concrets, pris au hasard :
– remplacer des camionnettes par des vélos cargo pour du SAV en milieu urbain (gain brut sur le coût du véhicule, et gain de productivité en éliminant les embouteillage et le temps de stationnement)
– ne plus proposer un véhicule de fonction à un collaborateur au profit d’un avantage financier comme le Crédit Mobilité. La plupart des entreprises adoptant le CM le font sur la base du coût total de détention du véhicule substitué, donc sans aucun surcoût, et avec une gestion administrative bien plus légère.
PS : au fait, connaissez-vous le Crédit Mobilité?
Constat n°2 :
Si vous avez approuvez la mention « un véhicule électrique ça coûte cher », rassurez-vous, vous êtes loin d’être seul. Mais la réalité est beaucoup (beaucoup) plus nuancée!
Premier point : le marché automobile a CONSIDERABLEMENT évolué. D’une part il y a eu une très forte inflation sur l’ensemble des gammes depuis 2020, et d’autre part le prix des véhicules électriques à amorcé une chute impressionnante (guerre des prix et effet structurel de la baisse du coût des batteries).
A titre d’exemple Citroën sort cette année un véhicule abordable très attractif (fabriqué en EU) dont la version électrique sera pratiquement vendue à parité avec son équivalent thermique.
Deuxième point : nombre de décideurs omettent d’analyser leur politique véhicules sous l’angle du Coût Total de Détention (TCO).
Or le loyer d’un véhicule diesel ne représente que 50% du TCO!
– carburant
– entretien
– assurance
– taxes sur l’affectation des véhicules à des fins économiques (ex-TVS)
– malus écologique
– amortissements non-déductibles
– avantages en nature
– suramortissement fiscal (PL)
Autant de postes de coûts qui pèsent lourd dans les comptes de l’entreprise et se trouvent largement améliorés par le basculement vers le VE.
La perte du bonus pour les entreprises n’affectent d’ailleurs quasiment pas ce constat : sur les véhicules de fonction nous constatons en moyenne entre 5 et 15% d’économie sur le TCO, hors bonus. Plutôt intéressant?
Ceci est plus nuancé sur les véhicules utilitaires, mais des projets bien ciblés se réalisent sans surcoût.
PPS: à date, aucun des projets de transition de flotte que nous avons menés en entreprise par theBlueWay n’ont aboutis sur un surcoût global, au contraire!
Au fait connaissez-vous l’accompagnement de theBlueWay? Suivez-nous!